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Un outil fascinant pour comprendre les attitudes interpersonnelles : Voici "LE CADRE DE RÉFÉRENCE DES COMPORTEMENTS INTERPERSONNELS "

ÉVALUER LES RELATIONS INTERPERSONNELLES D'UN ENFANT DE VOTRE CHOIX :
A1 à A5 - Les attitudes d'ESTIME DE SOI et de FIERTÉ
B1 à B5 - Les attitudes de POUVOIR et d'ORGANISATION
C1 à C5 - Les attitudes d'AGRESSIVITÉ ou d'OPPOSITION
D1 à D5 - Les attitudes de MÉFIANCE face aux autres
E1 à E5 - Les attitudes de GÊNE et d'ANXIÉTÉ face aux autres
F1 à F5 - Les attitudes de DOCILITÉ et de RÉCEPTIVITÉ a l'autre
G1 à G5 - Les attitudes pour le DÉVOUEMENT et l'ENTRAIDE
H1 à H5 - Les attitudes pour l'AMITIÉ et la CHALEUR HUMAINE

ÉVALUER VOS RELATIONS INTERPERSONNELLES SI VOUS ÊTES UNE FEMME :
A1 à A5 - Les attitudes d'ESTIME DE SOI et de FIERTÉ
B1 à B5 - Les attitudes de POUVOIR et d'ORGANISATION
C1 à C5 - Les attitudes d'AGRESSIVITÉ ou d'OPPOSITION
D1 à D5 - Les attitudes de MÉFIANCE face aux autres
E1 à E5 - Les attitudes de GÊNE et d'ANXIÉTÉ
F1 à F5 - Les attitudes de DOCILITÉ et de RÉCEPTIVITÉ à l'autre
G1 à G5 - Les attitudes pour le DÉVOUEMENT et l'ENTRAIDE
H1 à H5 - Les attitudes pour l'AMITIÉ et la CHALEUR HUMAINE

ÉVALUER VOS RELATIONS INTERPERSONNELLES SI VOUS ÊTES UN HOMME :
A1 à A5 - Les attitudes d'ESTIME DE SOI et de FIERTÉ
B1 à B5 - Les attitudes de POUVOIR et d'ORGANISATION
C1 à C5 - Les attitudes d'AGRESSIVITÉ ou d'OPPOSITION
D1 à D5 - Les attitudes de MÉFIANCE face aux autres
E1 à E5 - Les attitudes de GÊNE et d'ANXIÉTÉ face aux autres
F1 à F5 - Les attitudes de DOCILITÉ et de RÉCEPTIVITÉ a l'autre
G1 à G5 - Les attitudes pour le DÉVOUEMENT et l'ENTRAIDE
H1 à H5 - Les attitudes pour l'AMITIÉ et la CHALEUR HUMAINE

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E1 à E5 - Les attitudes de GENE et d'ANXIETE face aux autres chez cet enfant

E1 à E5 - Les attitudes de GÊNE et d'ANXIÉTÉ face aux autres,

Ce qui signifie que cet enfant ne manifeste pratiquement pas d’attitudes de gêne, d’anxiété ou d’angoisse dans ses relations avec qui de droit.

 

Il semble confortable ou à l’aise dans ses agissements avec qui de droit, et le doute sur lui-même ne paraît que rarement l’atteindre.

S’il est un enfant qui fonctionne déjà avec harmonie et souplesse dans ses relations avec les autres, une telle caractéristique est positive (dans son Test des Relations Interpersonnelles), cela devrait se traduire par un bon nombre de résultats dans la moyenne.)

 

Mais si cet enfant est d’une nature agressive, dominante ou manipulatrice, un résultat aussi faible au groupe E du Test des Relations Interpersonnelles pourrait indiquer que cet enfant pourrait être peu motivé à s’améliorer ou à changer (ceci n’est cependant pas vrai pour les enfants en bas âge.)

 

Si ce qui précède est vrai pour cet enfant, alors il faudra prévoir une approche de renforcements (récompenses) pour les bons comportements qu’il adoptera face aux autres, et une approche de punitions (sans exagérer) lorsque cet enfant se trouvera à adopter des comportements nuisibles ou peu adéquats vis-à-vis des autres.

N’oubliez pas de tenir compte de l’ensemble des résultats obtenus au Test des Relations Interpersonnelles, c’est à dire que si cet enfant a obtenu des résultast très élevés à certaines rubriques, qu’il faudra alors lui faire développer de la retenue à cet niveau ; et inversement pour les attitudes qu’il utilise trop peu souvent.

 

Bref, c’est l’équilibre entre les attitudes interpersonnelles qui est à développer chez cet enfant, le tout dans un contexte d’échanges affectifs et de confiance à échanger avec lui.

 

 

Voici maintenant quelques qualificatifs ou expressions résumant ce résultat très faible obtenu au groupe E du Test des Relations Interpersonnelles :

 

Ne paraît vivre ni gêne, ni anxiété, ni angoisse ; La motivation à changer, pour cet enfant, pourrait être faible, surtout s’il a un certain âge, et si les résultats de son Test des Relations Interpersonnelles sont soit faibles, soit élevés.

 

 

 

SUGGESTIONS POUR CET ENFANT QUI A DES ATTITUDES FAIBLES DE GÊNE ET D’ANXIÉTÉ

 

 

Faire en sorte que cet enfant ne devienne pas trop sûr de lui-même et, en ce sens, l’inciter à un minimum de doute de lui-même

 

Encourager cet enfant à avoir une estime de soi qui ne soit ni trop élevée, ni trop faible (une estime équilibrée de lui-même)

 

Inciter cet enfant à trouver un équilibre entre la conscience de sa valeur personnelle, et la valeur à reconnaître des autres

 

Amener cet enfant à trouver un équilibre entre ses affirmations de lui-même aux autres, et la reconnaissance du droit des autres à s’affirmer, eux aussi.


E2 - CET ENFANT DES ATTITUDES OCCASIONNELLES DE GÊNE ET D’ANXIÉTÉ

Ce résultat obtenu au Test des Relations Interpersonnelles signifie que cet enfant ne paraît pas vivre beaucoup de gêne, d’angoisse ou d’anxiété dans ses relations avec les autres.

 

Quelque part, cela pourrait constituer un signe d’assurance personnelle, chez cet enfant, mais serait également un signe que cet enfant pourrait ne pas être porté à se remettre personnellement en question.

 

En effet, le doute de soi est une bonne chose, dans certaines circonstances, car il motive souvent la personne qui l’a, à trouver des moyens concrets  visant à lui en faire vivre moins - de l’anxiété et de l’angoisse - à l’avenir.

 

En d’autres termes, un enfant qui sait se remettre en question, a alors tendance à chercher des moyens afin de pouvoir vivre des relations plus harmonieuses ou moins conflictuelles, avec les autres.

 

Si cet enfant a obtenu un grand nombre de résultats moyens dans le Test des Relations Interpersonnelles que vous avez répondu pour lui, alors il y aura peu de conséquence au fait qu’il semble y avoir peu de gêne ou d’anxiété, en lui.

 

Car l’équilibre des attitudes interpersonnelles, chez une personne, constitue souvent un bon signe d’adaptation sociale, pour elle.

Mais si cet enfant a obtenu plusieurs résultats élevés ou très faibles, dans son Test des Relations Interpersonnelles, alors il se pourrait qu’il ait développé certaines façons rigides ou extrêmes d’interagir avec les autres, ce qui pourrait alors nuire à son adaptation sociale générale.

 

En ce contexte, il peut être inquiétant que cet enfant ne ressente pas davantage de gêne ou d’anxiété, car s’il en ressentait davantage cela pourrait constituer un signe qu’il serait d’une nature à se remettre personnellement en question, à vouloir changer selon un sens plus conforme à son entourage.

 

Si c’est le cas pour cet enfant, alors tentez de lui faire développer les attitudes qui semblent basses ou peu développées – dans son Test des Relations Interpersonnelles – et faire l’inverse pour les attitudes qui semblent trop développées ou trop fortes.

 

C’est la souplesse d’adaptation qui est à développer chez un enfant, alors il est normal qu’il puisse être capable d’amitié lorsque cela est le temps, qu’il sache s’effacer face aux autres lorsque cela est requis, qu’il sache s’affirmer lorsque cela est approprié à faire, etc.

 

Il vous faudra donc revoir l’ensemble de ses résultats au Test des Relations Interpersonnelles, et tenter d’amener cet enfant à réduire ce qui est trop développé chez lui, et à faire augmenter les attitudes qui ne le sont pas assez.

 

 

Voici maintenant quelques qualificatifs ou expressions résumant ce résultat faible obtenu au groupe E du Test des Relations Interpersonnelles :

 

Cet enfant ne semble pas vivre de grands états intérieurs de gêne, d’anxiété ou d’angoisse ; Si cet enfant n’est pas bien dans sa peau, cela ne paraîtra pas trop ;  Potentiel pour du changement personnel chez cet enfant, surtout s’il a obtenu un bon nombre de résultats moyens

ailleurs dans son Test des Relations Interpersonnelles.

 

 

 

SUGGESTIONS POUR CET ENFANT QUI A DES ATTITUDES OCCASIONNELLES DE GÊNE ET D’ANXIÉTÉ

 

 

Faire en sorte que cet enfant ne devienne pas trop sûr de lui-même et, en ce sens, l’inciter à un minimum de doute de lui-même

 

Encourager cet enfant à avoir une estime de soi qui ne soit ni trop élevée, ni trop faible (une estime équilibrée de lui-même)

 

Inciter cet enfant à trouver un équilibre entre la conscience de sa valeur personnelle, et la valeur à reconnaître des autres

 

Amener cet enfant à trouver un équilibre entre ses affirmations de lui-même aux autres, et la reconnaissance du droit des autres à s’affirmer, eux aussi.


E3 - CET ENFANT DES ATTITUDES MOYENNES DE GÊNE ET D’ANXIÉTÉ

Ce qui signifie que cet enfant peut vivre des moments d’anxiété ou d’angoisse dans plusieurs de ses interactions avec les autres.

 

Donc il pourrait lui arriver de se sentir mal à l’aise ou anxieux dans plusieurs de ses échanges avec autrui, en particulier lors des situations plus stressantes que la vie en famille, à l’école ou ailleurs, comporte, parfois.

 

Il faut savoir ici que d’éprouver des moments d’anxiété ou d’insécurité présente plusieurs aspects positifs - chez un enfant - car la conscience d’inconforts en lui-même pourrait l’inciter à rechercher des moyens ou des stratégies afin de pouvoir mieux s’adapter aux diverses situations de sa vie.

 

Il faudra cependant éviter de faire vivre davantage de tensions ou de stress, à cet enfant, car par moments il pourrait être très mal dans sa peau, ce qui pourrait nuire à la qualité de ses échanges avec les personnes importantes de son entourage, et même lui donner des goûts de régression ou d’évitement.

 

Car cet enfant semble avoir tendance à douter de lui-même, à manquer parfois de confiance en ses moyens.

 

Et que s’il se mettrait à douter davantage de lui-même, qu’il pourrait tout simplement avoir envie d’éviter l’essai d’expérience nouvelles et qui pourraient l’enrichir personnellement, dans sa vie.

 

Il vous importera donc de trouver le bon dosage entre les exigences que vous pourriez avoir vis-à-vis de cet enfant, et l’importance qu’il puisse recouvrer la fierté personnelle ainsi que l’assurance face aux autres.

 

Si cet enfant a l’air de trop douter de lui-même, essayez alors de le remettre sur les rails de la confiance en soi, et n’exigez pas trop de lui : mettez plutôt l’emphase sur les succès ou les réussites qu’il a pu avoir, jusqu’ici.

 

Il pourra arriver que cet enfant devienne fuyant ou évitant, à l’occasion.

 

Acceptez qu’il en soit ainsi, le temps qu’il puisse retrouver un état intérieur plus stable.

 

Cet enfant pourrait avoir tendance à s’effacer face aux autres, donc à leur accorder une place relativement importante, ainsi qu’une assez grande influence, à son endroit.

 

À dose modérée, de telles attitudes sont excellentes à développer, aidant alors à la vie au commun, ainsi qu’à la future adaptation générale de cet enfant.

 

Mais veillez à ce que cet enfant puisse également s’affirmer, y aller de ses propres idées, de sa propre liberté d’être.

 

Rappelez-vous que c’est l’équilibre qui est à promouvoir chez cet enfant, pas nécessairement un ou deux types bien précis d’attitudes.

 

Tout ce qui précède n’exclut pas la présence d’une anxiété bien présente en cet enfant, anxiété qui pourrait se révéler sous la forme d’un manque de confiance en lui-même, entremêlé de doutes ou d’incertitudes personnelles.

 

Il est également possible que cet enfant ressente parfois des sentiments d’auto-dépréciation, de culpabilité ou de dévalorisation personnelle.

 

Si c’est le cas pour cet enfant – et si vous vous sentez dépassé par l’intensité de tels sentiments, chez lui – alors il vous reste l’option de lui offrir la possibilité de rencontrer un (e) professionnel (le} de confiance – 1 ou 2 heures par semaine, durant quelques semaines - afin de pouvoir l’aider à retrouver un mieux-être intérieur.

 

 

Voici maintenant quelques qualificatifs ou expressions résumant ce résultat moyen ou souple obtenu au groupe E du Test des Relations Interpersonnelles :

 

Cet enfant peut être anxieux, appréhensif ou angoissé ; Il peut être obéissant, modeste ou réservé ; Peut manquer de confiance en lui-même ; Peut vivre des moments d’embarras ou de malaise intérieur ; Peut être confus à l’occasion ; Peut s’auto-déprécier ou de dévaloriser ; Cet enfant pourrait être très ouvert à mieux s’adapter avec les diverses situations et personnes de sa vie.

 

 

 

SUGGESTIONS POUR CET ENFANT QUI A DES ATTITUDES MOYENNES DE GÊNE ET D’ANXIÉTÉ

 

 

Veillez à ce que cet enfant trouve un équilibre entre ses attitudes d’effacement et celles d’affirmation de lui-même, face aux autres

 

Veillez à lui faire augmenter son estime de lui-même ainsi que son degré de confiance en soi

 

Inciter cet enfant à développer des attitudes d’acceptation et de bonté envers lui-même (plutôt qu’à se critiquer ou à se juger parfois sévèrement)

 

Si cet enfant semble ressentir avec intensité des sentiments d’auto-dépréciation, de culpabilité ou de l’angoisse, n’hésitez pas à lui fournir une aide spécialisée afin qu’il puisse surmonter cette phase difficile de sa vie.


E4 - CET ENFANT DES ATTITUDES PRONONCÉES DE GÊNE ET D’ANXIÉTÉ

Ce qui signifie que cet enfant vit des moments d’importantes tensions intérieures (stress, anxiété ou angoisse) dans ses interactions avec les autres.

 

Et cela pourra s’amplifier par les situations de stress ou de changement que sa vie pourrait comporter.

 

Cet enfant semble donc très  mal à l’aise de l’intérieur, et il se pourrait qu’il soit rongé par le doute de lui-même (manque de confiance en soi), la culpabilité ou l’insécurité intérieure.

 

Face aux autres, il aura tendance à s’imaginer inférieur ou « petit » face à qui de droit, surtout face aux personnes qui auraient tendance à se faire imposantes, autoritaires ou directives, à son endroit.

 

Ici, c’est surtout la confiance en lui-même qui semble en jeu, et dans ces moments-là cet enfant pourra avoir tendance à se percevoir comme peu OK, mais à percevoir les autres comme OK.

 

Le sens de l’obéissance, pour cet enfant, paraît être élevé, mais son autonomie pourrait en être affecté.

 

Car il est difficile d’agir de façon autonome lorsque l’anxiété ou le doute sont autant présents en soi.

 

Le bon côté à tout cela est qu’une grande motivation pourrait exister chez cet enfant afin d’éviter les chicanes ou des tensions supplémentaires dans sa vie.

 

Dans l’ensemble, cet enfant vit donc des états intérieurs qui lui sont certainement déplaisants à vivre, et il pourrait avoir tendance à craindre plusieurs personnes de son entourage, ou bien à se faire fuyant ou évitant, en particulier lorsque les tensions montent vraiment très haut en lui.

 

Cet enfant a surtout besoin de calme et de support, de voix douce et de compréhension.

 

Évitez d’embarrasser davantage cet enfant qui est comme l’enfant timide que l’on pourrait gêner encore plus.

 

Au contraire, agissez avec lui de façon à ce qu’il puisse retrouver confiance en lui-même : encouragez-le, supportez-le.

 

Et même s’il ferait des erreurs ou des maladresses en chemin, ne lui en tenez pas rigueur : mettez plutôt l’accent sur les bonnes choses qu’il a pu réussir, et non sur celles qu’il semble avoir ratées.

 

Et dans la mesure du possible, essayez d’éviter de faire vivre à cet enfant trop de situations nouvelles ou de changement, car ce seraient là des stress supplémentaires à supporter, par lui. 

 

Mais si vous ne pouvez pas faire autrement, alors soyez présent (e) à ses côtés, expliquez-lui calmement ce qui se passe, et supportez-le du mieux que vous pouvez.

 

Au besoin, procurez-lui une aide professionnelle compétente afin qu’il puisse retrouver confiance en ses moyens, et retrouver une assurance intérieure qui semble particulièrement lui manquer en ce moment.

 

 

Voici maintenant quelques qualificatifs ou expressions résumant ce résultat élevé obtenu au groupe E du Test des Relations Interpersonnelles :

 

Cet enfant est très tendu intérieurement (stress, anxiété ou angoisse) ; Il a tendance à douter de lui-même ; Manque de confiance en ses moyens ; Il peut être très affecté ou troublé intérieurement ; Cet enfant pourrait avoir besoin d’une aide extérieure et professionnelle afin de pouvoir retrouver une stabilité intérieure ainsi qu’une confiance nouvelle en lui-même.

 

 

 

SUGGESTIONS POUR CET ENFANT QUI A DES ATTITUDES PRONONCÉES

DE GÊNE ET D’ANXIÉTÉ

 

 

Inciter cet enfant au calme et à la détente

 

Inciter cet enfant à extérioriser (décharger ou canaliser) ses tensions intérieures par la création personnelle, l’expression artistique, le sport ou les activités physiques en général

 

Encourager cet enfant à développer une plus grande confiance en lui-même ainsi qu’à s’estimer davantage

 

Encourager cet enfant à développer des attitudes de tolérance, de douceur ou d’acceptation de lui-même

 

Encourager cet enfant à développer des caractéristiques d’assurance personnelle face aux autres (affirmation de soi)

 

Offrir de votre présence et de votre support si cet enfant a à traverser des périodes de changement ou de stress dans sa vie

 

Si cet enfant se trouve à vivre des moments de dépression ou d’humeur sombre, n’hésitez pas à lui fournir une aide spécialisée afin qu’il puisse surmonter cette phase difficile de sa vie


E5 - CET ENFANT DES ATTITUDES TRÈS IMPORTANTES DE GÊNE ET D’ANXIÉTÉ

Ce qui signifie que cet enfant vit des états intérieurs d’accablement, de doutes majeurs de lui-même, des sentiments pénibles d’impuissance ou d’infériorité face aux autres, des sentiments d’incompétence, etc.

 

Il est même possible que cet enfant vive une sorte de morosité de l’existence, de l’accablement, comme d’avoir à traverser un quotidien - avec les autres - avec une humeur sombre comme bagage. 

 

Il se pourrait donc que cet enfant ressente des sentiments de dépression ou d’amertume en lui-même, cela pourrait même le ronger au dedans, et affecter de beaucoup la qualité de son existence dans ses relations avec les autres.

 

Il n’est pas rare que plusieurs enfants vivant de tels états intérieurs se fassent aider, afin de pouvoir les aider à obtenir le support ou l’aide dont ils semblent avoir besoin.

 

Cela serait certainement une bonne idée pour cet enfant.

 

Il peut arriver que les états intérieurs d’accablement ou de dépression fassent suite à une crise que cet enfant aurait vécue, dans sa vie : séparation (s) ou épreuves difficiles à traverser, changements brusques à devoir faire face dans sa vie, etc.

 

Il se pourrait aussi qu’un passé soit à régler, en lui-même, et alors une thérapie ou une aide spécialisée serait toute indiquée, pour lui.

 

En particulier si l’anxiété et les sentiments dépressifs occuperaient une place importante, en lui.

 

Dans tous les cas, il aidera à cet enfant d’apprendre à se détendre, et à développer la capacité à percevoir le positif là ou il est, autour de lui.

 

Il va de soi que tout ce qui précède semble vous semblerait exact pour cet enfant, qu’il aurait alors intérêt à se faire aider par un aidant compétent dans le travail psychologique auprès des enfants (psychologue ayant ses preuves, thérapie par le jeu, ou autre thérapeute compétent auprès des jeunes.)

 

 

Voici maintenant quelques qualificatifs ou expressions résumant ce résultat très élevé obtenu au groupe E du Test des Relations Interpersonnelles :

 

Tendance à avoir l’humeur sombre ou noire ; Tendance à être déprimé ;  Sentiments d’impuissance ou peu adéquat ; Peut être rongé par autant de malaise en lui-même ;  Sentiments possibles de culpabilité ; Se sentir faible ou en insécurité ; Grands besoins de support et d’attention.

 

 

 

SUGGESTIONS POUR CET ENFANT QUI A DES ATTITUDES TRÈS IMPORTANTES DE GÊNE ET D’ANXIÉTÉ

 

 

Inciter cet enfant au calme et à la détente

 

Inciter cet enfant à extérioriser (décharger ou canaliser) ses tensions intérieures par la création personnelle, l’expression artistique, le sport ou les activités physiques en général

 

Encourager cet enfant à développer une plus grande confiance en lui-même ainsi qu’à s’estimer davantage

 

Encourager cet enfant à développer des attitudes de tolérance, de douceur ou d’acceptation de lui-même

 

Encourager cet enfant à développer des caractéristiques d’assurance personnelle face aux autres (affirmation de soi)

 

Offrir de votre présence et de votre support si cet enfant a à traverser des périodes de changement ou de stress dans sa vie

 

Si cet enfant se trouve à vivre des moments de dépression ou d’humeur sombre, n’hésitez pas à lui fournir une aide spécialisée afin qu’il puisse surmonter cette phase difficile de sa vie.