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Un outil fascinant pour comprendre les attitudes interpersonnelles : Voici "LE CADRE DE RÉFÉRENCE DES COMPORTEMENTS INTERPERSONNELS "

ÉVALUER LES RELATIONS INTERPERSONNELLES D'UN ENFANT DE VOTRE CHOIX :
A1 à A5 - Les attitudes d'ESTIME DE SOI et de FIERTÉ
B1 à B5 - Les attitudes de POUVOIR et d'ORGANISATION
C1 à C5 - Les attitudes d'AGRESSIVITÉ ou d'OPPOSITION
D1 à D5 - Les attitudes de MÉFIANCE face aux autres
E1 à E5 - Les attitudes de GÊNE et d'ANXIÉTÉ face aux autres
F1 à F5 - Les attitudes de DOCILITÉ et de RÉCEPTIVITÉ a l'autre
G1 à G5 - Les attitudes pour le DÉVOUEMENT et l'ENTRAIDE
H1 à H5 - Les attitudes pour l'AMITIÉ et la CHALEUR HUMAINE

ÉVALUER VOS RELATIONS INTERPERSONNELLES SI VOUS ÊTES UNE FEMME :
A1 à A5 - Les attitudes d'ESTIME DE SOI et de FIERTÉ
B1 à B5 - Les attitudes de POUVOIR et d'ORGANISATION
C1 à C5 - Les attitudes d'AGRESSIVITÉ ou d'OPPOSITION
D1 à D5 - Les attitudes de MÉFIANCE face aux autres
E1 à E5 - Les attitudes de GÊNE et d'ANXIÉTÉ
F1 à F5 - Les attitudes de DOCILITÉ et de RÉCEPTIVITÉ à l'autre
G1 à G5 - Les attitudes pour le DÉVOUEMENT et l'ENTRAIDE
H1 à H5 - Les attitudes pour l'AMITIÉ et la CHALEUR HUMAINE

ÉVALUER VOS RELATIONS INTERPERSONNELLES SI VOUS ÊTES UN HOMME :
A1 à A5 - Les attitudes d'ESTIME DE SOI et de FIERTÉ
B1 à B5 - Les attitudes de POUVOIR et d'ORGANISATION
C1 à C5 - Les attitudes d'AGRESSIVITÉ ou d'OPPOSITION
D1 à D5 - Les attitudes de MÉFIANCE face aux autres
E1 à E5 - Les attitudes de GÊNE et d'ANXIÉTÉ face aux autres
F1 à F5 - Les attitudes de DOCILITÉ et de RÉCEPTIVITÉ a l'autre
G1 à G5 - Les attitudes pour le DÉVOUEMENT et l'ENTRAIDE
H1 à H5 - Les attitudes pour l'AMITIÉ et la CHALEUR HUMAINE

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C1 à C5 - Les attitudes d'AGRESSIVITÉ ou d'OPPOSITION face aux autres, chez un enfant de votre choix

C1 - CET ENFANT A DES ATTITUDES FAIBLES POUR L’OPPOSITION AGRESSIVE À L’AUTRE

Ce qui signifie que cet enfant ne s’opposera à peu près jamais à une opinion qu’il ne partage pas, et qu’il dira rarement « Non ! » à l’autre, même si cela serait requis par la situation interpersonnelle du moment.

Bref, cet enfant éprouverait des difficultés à s’exprimer sans détour, ne voulant probablement pas qu’il y ait des désaccords, des conflits ou des chicanes dans ses relations du moment avec qui de droit.

 

Dans l’ensemble, cet enfant sera donc pacifique face aux autres.

 

Il pourrait cependant arriver qu’à l’occasion cet enfant exprime son agressivité de manière indirecte, détournée, ou de façon passive.

 

Cela risquerait davantage de survenir si – au groupe D du Test des Relations Interpersonnelles – il a obtenu un résultat moyen, élevé ou très élevé, indiquant alors un côté passablement fermé ou méfiant face à diverses personnes de son entourage.

 

Dans un tel cas, il est à prévoir que de temps en temps cet enfant accumulera ses tensions et ses griefs face à qui de droit - comme un ballon gonflant tout le temps - jusqu’au moment ou il éclatera avec fracas, d’un coup sec.

 

Une deuxième possibilité concernant l’agressivité est que cet enfant soit d’un naturel très peu agressif et très peu opposant face à qui de droit, et qu’il fasse alors attention au maximum afin de ne pas blesser ou de ne pas décevoir qui de droit par des actions ou des remarques agressives qu’il pourrait faire ou dire.

Il pourrait aussi arriver que le non-dit – au niveau de la communication – puisse survenir, chez lui.

 

Le « non-dit » c’est de ne pas raconter à l’autre ce que l’on pense vraiment, ne pas lui manifester les critiques ou les oppositions que l’on pourrait avoir envie d’exprimer à qui de droit.

 

Le « non-dit » a davantage de possibilités de survenir – chez cet enfant – s’il a obtenu un résultat faible ou très faible au groupe A du Test des Relations Interpersonnelles, ce qui confirmerait alors ses difficultés à prendre sa place avec assurance - incluant pour l’agressivité - dans ses relations avec qui de droit.

 

Une dernière possibilité à un résultat faible au groupe C du Test des Relations Interpersonnelles est que cet enfant soit tout simplement d’un naturel particulièrement pacifique face aux autres, cherchant alors à faire attention au maximum pour ne pas blesser ou ne pas heurter quiconque autour de lui.

 

On parlera alors d’une délicatesse ou d’un pacifisme hors du commun, chez cet enfant.

 

 

Voici maintenant quelques qualificatifs ou expressions résumant ce résultat faible obtenu au groupe C du Test des Relations Interpersonnelles.

 

Cet enfant critiquera ou s’opposera rarement à l’autre ; Peu porté à dire ce qu’il pense ; Peut craindre de s’opposer à l’autre ou de le blesser ; Possibilité d’une agressivité indirecte, chez cet enfant ; Il pourrait parfois éclater s’il retient trop ses frustrations accumulées ; Possibilité d’un tempérament très pacifique, chez cet enfant.

 

 

 

SUGGESTIONS POUR CET ENFANT QUI A DES ATTITUDES FAIBLES POUR L’OPPOSITION AGRESSIVE À L’AUTRE

 

 

Inciter cet enfant à réfléchir quant aux raisons pouvant l’empêcher de manifester son agressivité (critique, refus ou opposition) à qui de droit.

 

Encourager cet enfant à prendre sa place (en s’affirmant agressivement, s’il le faut) en particulier s’il estime qu’il serait en droit de le faire, et que vous-même seriez d’accord avec lui

 

Guider cet enfant dans ses relations parfois délicates ou conflictuelles face à qui de droit, lui servir de conseiller à ce niveau

 

Au besoin, jouer avec cet enfant à des « jeux de rôle » de façon à ce que vous puissiez le voir en action, concernant la façon qu’il a d’exprimer ses messages d’agressivité, de refus ou d’opposition, pour ensuite le guider vers les bonnes formulations, la bonne façon de dire les choses, le ton adéquat de voix, etc.


C2 - CET ENFANT A DES ATTITUDES OCCASIONNELLES POUR L’OPPOSITION AGRESSIVE FACE À QUI DE DROIT

Ce qui signifie que cet enfant peut s’opposer à une opinion qu’il ne partage pas, et qu’il peut également dire « Non ! » à l’autre lorsque cela est requis par la situation interpersonnelle du moment.

 

Bref, cet enfant est capable de s’exprimer sans détour, mais il préférera quand même le faire le moins souvent possible, ne voulant surtout pas qu’il y ait des désaccords ou des chicanes dans ses relations du moment avec qui de droit.

 

Dans l’ensemble, cet enfant sera donc pacifique face aux autres, sauf si des personnes exagèreraient vraiment à son endroit, ou chercheraient à lui faire des demandes vraiment déraisonnables, de son point de vue.

 

Il pourrait cependant arriver qu’à l’occasion cet enfant exprime son agressivité de manière indirecte, détournée, ou de façon passive.

 

Cela risquerait davantage de survenir si – au groupe D du Test des Relations Interpersonnelles – il a obtenu un résultat moyen, élevé ou très élevé, indiquant alors un côté passablement fermé ou méfiant face à diverses personnes de son entourage.

 

Dans un tel cas, il est à prévoir que de temps en temps cet enfant accumulera ses tensions et ses griefs face à qui de droit - comme un ballon gonflant tout le temps - jusqu’au moment ou il éclatera avec fracas, d’un coup sec.

Une deuxième possibilité concernant l’agressivité est que cet enfant soit d’un naturel très peu agressif et très peu opposant face à qui de droit, et qu’il fasse alors attention au maximum afin de ne pas blesser ou de ne pas décevoir qui de droit par des actions ou des remarques agressives qu’il pourrait faire ou dire.

 

Il pourrait arriver que le non-dit – au niveau de la communication – puisse survenir, chez lui.

 

Le « non-dit » c’est de ne pas raconter à l’autre ce que l’on pense vraiment, ne pas lui manifester les critiques ou les oppositions que l’on pourrait avoir envie d’exprimer à qui de droit.

 

Le « non-dit » a davantage de possibilités de survenir – chez cet enfant – s’il a obtenu un résultat faible ou très faible au groupe A du Test des Relations Interpersonnelles, ce qui confirmerait alors ses difficultés à prendre sa place avec assurance - incluant pour l’agressivité - dans ses relations avec qui de droit.

 

Une dernière possibilité à un résultat faible au groupe C du Test des Relations Interpersonnelles est que cet enfant soit tout simplement d’un naturel plutôt pacifique face aux autres, cherchant alors à faire attention au maximum pour ne pas blesser ou ne pas heurter les gens autour de lui.

 

On parlera alors d’un sens développé du respect, d’une délicatesse ou d’un pacifisme hors du commun, chez cet enfant.

 

 

Voici maintenant quelques qualificatifs ou expressions résumant ce résultat faible obtenu au groupe C du Test des Relations Interpersonnelles.

 

Peut critiquer ou s’opposer à l’autre ; Peut dire ce qu’il pense ; Peut également craindre de s’opposer à l’autre ou de le blesser ; Possibilité d’une agressivité indirecte, chez cet enfant ; Cet enfant peut parfois éclater s’il retient trop ses frustrations accumulées ; Possibilité aussi d’un tempérament plutôt pacifique, chez cet enfant.

 

 

SUGGESTIONS POUR CET ENFANT QUI A DES ATTITUDES OCCASIONNELLES POUR L’OPPOSITION AGRESSIVE, FACE AUX AUTRES

 

 

Inciter cet enfant à réfléchir quant aux raisons pouvant l’empêcher de manifester son agressivité (critique, refus ou opposition) à qui de droit.

 

Encourager cet enfant à prendre sa place (en s’affirmant agressivement, s’il le faut) en particulier s’il estime qu’il serait en droit de le faire, et que vous-même seriez d’accord avec lui

 

Guider cet enfant dans ses relations parfois délicates ou conflictuelles face à qui de droit, lui servir de conseiller à ce niveau

 

Au besoin, jouer avec cet enfant à des « jeux de rôle » de façon à ce que vous puissiez le voir en action, concernant la façon qu’il a d’exprimer ses messages de refus ou d’opposition, pour ensuite le guider vers les bonnes formulations, la bonne façon de dire les choses, le ton adéquat de voix, etc.


C3 - CET ENFANT A DES ATTITUDES ÉQUILIBRÉES POUR L’AGRESSIVITÉ ET LA COLÈRE FACE À QUI DE DROIT

Ce qui signifie que cet enfant peut parfois avoir des conduites impulsives ou agressives dans ses relations avec les autres, mais que cela ne constituera pas une façon habituelle de fonctionner, pour lui.

 

Dans ces moments-là, cet enfant pourra s’enrager pour peu de chose, réagir particulièrement fort à certaines frustrations, manquer d’égards ou de délicatesse face à certaines personnes de son entourage, etc.

 

Mais en général, chez cet enfant, il y aura la présence de capacités pour la retenue ou la réflexion, pouvant alors l’aider à contenir ou à prévenir des comportements ouvertement impulsifs ou « non réfléchis » avec les autres.

 

En particulier chez l’enfant ayant obtenu un résultat moyen ou supérieur aux groupes F, G et H du Test des Relations Interpersonnelles, il pourra exister des freins aux comportements trop impulsifs de sa part.

 

Car de tels résultats aux « groupes sociaux » du Test des Relations Interpersonnelles (F, G et H) laissent entendre que cet enfant pourrait être porté à « réfléchir davantage » quant aux conséquences que ses goûts impulsifs d’action pourraient avoir, sur ses amis, les parents ou les autres personnes autour de lui.

 

Il va de soi que dans les cas ou cet deviendrait très agressif, le temps d’un moment – qu’il ne faudra pas l’encourager à aller plus avant dans cette voie.

 

Après l’éclat, revoyez avec cet enfant les raisons ayant pu l’amener à agir de façon autant agressive, tâchez de comprendre les motifs profonds de sa crise, et enseignez-lui ensuite les moyens alternatifs qu’il aurait pu utiliser afin de régler le différend ou le problème qui l’aura amené à agir ainsi.

 

Ces moyens alternatifs peuvent être le partage, la considération des besoins des autres, la façon de faire ses demandes, l’importance de négocier avec l’autre selon une optique gagnant-gagnant, etc.

 

Mais dans l’ensemble, cet enfant présente un côté habituellement équilibré dans l’expression de son agressivité.

 

Et il est un fait que de façon modérée, l’agressivité est une belle chose en soi, en particulier dans les situations ou cet enfant considèrerait comme légitime de faire savoir à l’autre son opposition ou sa désapprobation face à qui de droit.

 

Apprendre à exprimer adéquatement ses désaccords ou son opposition, aux autres, est un art pour lequel les parents peuvent longtemps guider ou aider l’enfant.

 

 

Voici maintenant quelques qualificatifs ou expressions résumant ce résultat élevé obtenu au groupe C du Test des Relations Interpersonnelles :

 

Capable de critiquer ou de s’opposer directement à l’autre ; Capable de ressentir et d’exprimer de la colère ; A certains moments, cet enfant pourra être très agressif ou fâché, mais cela ne sera habituellement que pour une courte période de temps ; Agressivité dans la moyenne ; L’agressivité n’est pas une façon habituelle de faire, pour cet enfant.

 

 

SUGGESTIONS POUR CET ENFANT QUI A DES ATTITUDES RELATIVEMENT ÉQUILIBRÉES POUR L’OPPOSITION AGRESSIVE FACE AUX AUTRES

 

 

Accepter l’agressivité verbale de la part de cet enfant, mais pas l’agressivité physique (ne pas accepter qu’il donne des coups, morde l’autre, etc.)

 

Orienter l’agressivité verbale de cet enfant vers des formes civilisées (dialogue, recherche de solutions satisfaisantes pour lui-même et pour qui de droit, demander plutôt qu’exiger, etc.)

 

Apprendre à exprimer ses énergies d’agressivité et de colère par le jeu actif, l’activité physique ou l’action en général (éviter la passivité du corps)

 

Encourager cet enfant à mieux contrôler ses énergies agressives, en l’incitant notamment à réfléchir davantage avant de l’exprimer, et en l’utilisant d’une façon plus constructive que présentement.


C4 - CET ENFANT A DES ATTITUDES PRONONCÉES POUR L’AGRESSIVITÉ ET LA COLÈRE, FACE À QUI DE DROIT

Ce qui signifie que cet enfant peut avoir des conduites très impulsives ou agressives dans ses relations avec qui de droit.

 

Dans ces moments-là, cet enfant pourra s’enrager pour peu de chose, réagir très fort à la frustration, manquer d’égards ou de délicatesse face à plusieurs personnes de son entourage.

 

Chez cet enfant, il peut y avoir prédominance de l’action sur la réflexion, encourageant alors les conduites impulsives ou « non réfléchies. »

 

Les conduites « non réfléchies » pourront se présenter sous diverses formes possibles : défiance de l’autorité ou de l’adulte, faire à sa tête, colère rapide ou spontanée, réagir avec éclat ou agressivité face à qui de droit, etc.

 

L’agressivité physique peut également être présente, selon le type de l’enfant.

 

Si cet enfant a peu de conduites « socialisées » avec les autres (F, G et H faibles), alors il faudra s’attendre à ce qu’il existe peu de freins quant à cette impulsivité très forte en lui.

 

Cela est habituellement le cas pour les enfants en bas âge, jusqu’à 3 ou 4 ans.

 

Et à l’inverse : si l’enfant dispose de conduites « socialisées » dans son répertoire de comportements face aux autres, il tendra alors à « réfléchir davantage » quant aux conséquences que ses goûts impulsifs d’action pourraient avoir, sur ses amis, les parents ou les autres personnes autour de lui.

 

Et il y a l’âge de l’enfant à considérer, bien sûr.

 

Ainsi, si l’enfant n’a que quelques années, il devra être considéré comme relativement normal que ses réactions personnelles ou agressives puissent être occasionnellement très fortes.

 

Il faudra alors l’arrêter, et surtout ne pas l’encourager à recourir de nouveau à de tels moyens afin de se faire obéir par l’adulte ou par les autres enfants.

 

Cependant, si l’enfant est d’un âge plus élevé, de telles conduites impulsives de sa part devront être considérées comme plus inquiétantes, et être interprétées comme la conséquence de souffrances ou d’une perturbation particulière, en lui.

 

Pour ces enfants d’un âge plus élevé, il ne devrait pas être exclus une thérapie par le jeu, pour l’enfant, ou une aide assistée aux parents quant aux attitudes parentales « adéquates » qu’ils devront développer afin de pouvoir face à de tels comportements, chez leur enfant.

 

Comme il a été dit plus tôt, il existe un grand nombre d’attitudes agressives parmi lesquelles l’enfant intolérant ou agressif peut aller choisir : de l’agressivité verbale jusqu’à l’agressivité physique (mordre, donner des coups, faire mal), en passant par la bouderie ou la manipulation affective.

 

Les conduites agressives peuvent évidemment varier d’un enfant à l’autre, alors il importe de bien observer les conduites agressives particulières de votre enfant, et de bien les noter.

 

Ainsi, certains enfants ne seront jamais agressifs physiquement, mais d’autres pourront l’être, cela variant d’un enfant à l’autre.

 

Mais toujours l’agressivité tendra à être utilisé par l’enfant comme un moyen de parvenir à ses fins, en particulier lorsqu’il y a frustration, désarroi affectif ou fatigue, chez lui.

 

En plus de l’agressivité, certains enfants pourront afficher une froideur particulière face à l’adulte, ou bien manifester un plaisir évident à faire mal à l’autre ; pour ces enfants-là, une attention particulière devra être de mise afin qu’une aide spécialisée puisse lui être fournie, à lui mais aussi à ses parents.

 

Car l’enfant réagit tellement au climat de son environnement familial que les conduites qu’il peut avoir enseignent souvent sur le climat ou l’atmosphère générale qui règne à la maison.

 

Il va de soi que plus un enfant peut disposer de modèles de retenue ou de respect, autour de lui, et moins il tendra à utiliser l’agressivité ou la violence comme moyen privilégié d’imposer sa volonté aux autres.

 

Pour tous les cas d’agressivité, peu importe l’âge, il est fréquent de constater une montée de l’impulsivité lorsque l’enfant se trouve à vivre des moments de grande tension, dans sa vie (séparation de ses parents, attitudes éducatives inconstantes, déménagements, conflits intenses à la maison, parents aux prises avec divers problèmes de dépendance aux substance, valeurs de plaisir immédiat chez l’un et/ou l’autre des parents, etc.)

 

Outre l’importance de ne pas encourager la violence sous toute les formes, il importera à l’adulte éducateur ou au parent d’enseigner à l’enfant des attitudes alternatives : le partage, la considération des besoins des autres, l’amitié, l’attachement affectif avec des gens importants pour lui, etc.

 

Et finalement, il importe de mentionner le fait que parfois – mais pas toujours – l’impulsivité d’un enfant peut refléter la présence d’une sorte de panique en lui à l’effet de ne pas être encadré fermement ou « comme il se doit » par le parent ou l’adulte.

 

Car la plupart des enfants savent, au dedans d’eux qu’ils ont besoin d’être guidés, fermement guidés ou encadrés par des adultes, en particulier s’ils sont en bas âge.

 

Et que lorsque cet encadrement vient à manquer, que l’anxiété, l’angoisse ou la peur peuvent monter en flèche en eux, pouvant alors les inciter à éclater d’impulsivité, comme pour envoyer une lumière rouge (signal à qui de droit) à l’effet qu’intérieurement ils ont besoin que l’on s’occupe vraiment d’eux, que l’on sache les ramener à l’ordre, pour leur sécurité intime d’enfant en développement.

 

Pour ces enfants, le fait de sentir un adulte en contrôle – au dessus d’eux – peut contribuer à les faire se sentir en sécurité ; bref, à aider à les calmer en profondeur.

 

 

Voici maintenant quelques qualificatifs ou expressions résumant ce résultat élevé obtenu au groupe C du Test des Relations Interpersonnelles :

 

Impulsivité parfois très présente ; Peut se fâcher facilement ; Peut faire des crises de rage ou de colère ; Tendance à réagir très vivement à des frustrations spécifiques ; Tendance à provoquer ou à défier l’autorité ; Possibilités de violence physique (coups, mordre, etc), surtout si l’enfant est en bas âge (5 ans et moins.)

 

 

 

SUGGESTIONS POUR CET ENFANT QUI A DES ATTITUDES PRONONCÉES POUR L’OPPOSITION AGRESSIVE, FACE À L’AUTRE

 

 

SUGGESTIONS POUR L’ENFANT LUI-MÊME

 

Inciter l’enfant agressif à réfléchir avant d’agir (s’il agit immédiatement par de l’agressivité, le mettre en situation de réfléchir, tout de suite après)

 

Inciter l’enfant agressif à contrôler de plus en plus son impulsivité (qu’il apprenne à s’imposer des freins à sa propre impulsivité, à se contrôler lui-même à ce niveau)

 

Permettre à l’enfant agressif de décharger ses énergies de frustration et de colère, mais sur des objets ou par l’action (mais pas sur des personnes)

 

Accepter l’agressivité verbale de la part de cet enfant, mais pas l’agressivité physique (ne pas accepter qu’il donne des coups, morde l’autre, etc.)

 

Orienter l’agressivité verbale de cet enfant vers des formes civilisées (dialogue, recherche de solutions satisfaisantes pour lui-même et pour qui de droit, demander plutôt qu’exiger, etc.)

 

 

 

SUGGESTIONS POUR DES SITUATIONS PARTICULIÈRES

 

Si les comportements agressifs de cet enfant prennent leurs causes de perturbations qu’il subirait à la maison ou ailleurs, offrir alors de l’aide spécialisée aux personnes de ces milieux impliqués de vie

 

Si les comportements agressifs de cet enfant visent à provoquer le parent ou l’adulte à lui fournir un encadrement dont il (l’enfant) ressentirait vivement le besoin, procurer alors à cet enfant un encadrement éducatif ferme et stable

 

Procurer à cet enfant un cadre de vie qui soit stable et qui comporte un minimum de changements ou de tensions ambiantes à supporter par lui


C5 - CET ENFANT DES ATTITUDES TRÈS IMPORTANTES POUR L’OPPOSITION AGRESSIVE, FACE À L’AUTRE

Ce qui signifie que cet enfant peut avoir des conduites très impulsives ou très agressives dans ses relations avec qui de droit.

 

Dans ces moments-là, cet enfant pourra s’enrager pour peu de chose, réagir très fortement à la frustration, manquer d’égards ou de délicatesse face à plusieurs personnes de son entourage, etc.

 

Chez cet enfant, il peut y avoir prédominance de l’action sur la réflexion, encourageant alors les conduites impulsives ou « non réfléchies. »

 

Les conduites « non réfléchies » pourront se présenter sous diverses formes possibles : défiance de l’autorité ou de l’adulte, faire à sa tête, colère rapide ou spontanée, réagir avec éclat ou agressivité face à qui de droit, etc.

 

L’agressivité physique peut également être présente, selon le type de l’enfant.

 

Si cet enfant a peu de conduites « socialisées » avec les autres (F, G et H faibles), alors il faudra s’attendre à ce qu’il existe peu de freins quant à cette impulsivité très forte en lui.

 

Cela est habituellement le cas pour les enfants en bas âge, jusqu’à 3 ou 4 ans.

 

Et à l’inverse : si l’enfant dispose de conduites « socialisées » dans son répertoire de comportements face aux autres, il tendra alors à « réfléchir davantage » quant aux conséquences que ses goûts impulsifs d’action pourraient avoir, sur ses amis, les parents ou les autres personnes autour de lui.

 

Et il y a l’âge de l’enfant à considérer, bien sûr.

 

Ainsi, si l’enfant n’a que quelques années, il devra être considéré comme relativement normal que ses réactions personnelles ou agressives puissent être occasionnellement très fortes.

 

Il faudra alors l’arrêter, et surtout ne pas l’encourager à recourir de nouveau à de tels moyens afin de se faire obéir par l’adulte ou par les autres enfants.

 

Cependant, si l’enfant est d’un âge plus élevé, de telles conduites impulsives de sa part devront être considérées comme plus inquiétantes, et être interprétées comme la conséquence de souffrances ou d’une perturbation particulière, en lui.

 

Pour ces enfants d’un âge plus élevé, il ne devrait pas être exclus une thérapie par le jeu, pour l’enfant, ou une aide assistée aux parents quant aux attitudes parentales « adéquates » qu’ils devront développer afin de pouvoir face à de tels comportements, chez leur enfant.

 

Comme il a été dit plus tôt, il existe un grand nombre d’attitudes agressives parmi lesquelles l’enfant intolérant ou agressif peut aller choisir : de l’agressivité verbale jusqu’à l’agressivité physique (mordre, donner des coups, faire mal), en passant par le bouderie ou la manipulation affective.

 

Les conduites agressives peuvent évidemment varier d’un enfant à l’autre, alors il importe de bien observer les conduites agressives particulières de votre enfant, et de bien les noter.

 

Ainsi, certains enfants ne seront jamais agressifs physiquement, mais d’autres pourront l’être, cela variant d’un enfant à l’autre.

 

Mais toujours l’agressivité tendra à être utilisé par l’enfant comme un moyen de parvenir à ses fins, en particulier lorsqu’il y a frustration, désarroi affectif ou fatigue, chez lui.

 

En plus de l’agressivité, certains enfants pourront afficher une froideur particulière face à l’adulte, ou bien manifester un plaisir évident à faire mal à l’autre ; pour ces enfants-là, une attention particulière devra être de mise afin qu’une aide spécialisée puisse lui être fournie, à lui mais aussi à ses parents.

 

Car l’enfant réagit tellement au climat de son environnement familial que les conduites qu’il peut avoir enseignent souvent sur le climat ou l’atmosphère générale qui règne à la maison.

 

Il va de soi que plus un enfant peut disposer de modèles de retenue ou de respect, autour de lui, et moins il tendra à utiliser l’agressivité ou la violence comme moyen privilégié d’imposer sa volonté aux autres.

 

Pour tous les cas d’agressivité, peu importe l’âge, il est fréquent de constater une montée de l’impulsivité lorsque l’enfant se trouve à vivre des moments de grande tension, dans sa vie (séparation de ses parents, attitudes éducatives inconstantes, déménagements, conflits intenses à la maison, parents aux prises avec divers problèmes de dépendance aux substance, valeurs de plaisir immédiat chez l’un et/ou l’autre des parents, etc.)

 

Outre l’importance de ne pas encourager la violence sous toute les formes, il importera à l’adulte éducateur ou au parent d’enseigner à l’enfant des attitudes alternatives : le partage, la considération des besoins des autres, l’amitié, l’attachement affectif avec des gens importants pour lui, etc.

 

Et finalement, il importe de mentionner le fait que parfois – mais pas toujours – l’impulsivité d’un enfant peut refléter la présence d’une sorte de panique en lui à l’effet de ne pas être encadré fermement ou « comme il se doit » par le parent ou l’adulte.

 

Car la plupart des enfants savent, au dedans d’eux qu’ils ont besoin d’être guidés, fermement guidés ou encadrés par des adultes, en particulier s’ils sont en bas âge.

 

Et que lorsque cet encadrement vient à manquer, que l’anxiété, l’angoisse ou la peur peuvent monter en flèche en eux, pouvant alors les inciter à éclater d’impulsivité, comme pour envoyer une lumière rouge (signal à qui de droit) à l’effet qu’intérieurement ils ont besoin que l’on s’occupe vraiment d’eux, que l’on sache les ramener à l’ordre, pour leur sécurité intime d’enfant en développement.

 

Pour ces enfants, le fait de sentir un adulte en contrôle – au dessus d’eux – peut contribuer à les faire se sentir en sécurité ; bref, à aider à les calmer en profondeur.

 

 

Voici maintenant quelques qualificatifs ou expressions résumant ce résultat élevé obtenu au groupe C du Test des Relations Interpersonnelles :

 

Impulsivité parfois très présente ; Peut se fâcher facilement ; Peut bondir hors de ses gonds ; Intolérances fréquentes ; Peut faire des crises de rage ou de colère ; Tendance à réagir très vivement à des frustrations spécifiques ; Tendance à provoquer ou à défier l’autorité ; Possibilités de violence physique (coups, mordre, etc), surtout si l’enfant est en bas âge (5 ans et moins.) 

 

 

 

SUGGESTIONS POUR CET ENFANT QUI A DES ATTITUDES TRÈS IMPORTANTES POUR L’OPPOSITION AGRESSIVE À L’AUTRE

 

 

SUGGESTIONS POUR L’ENFANT LUI-MÊME

 

 

Inciter l’enfant agressif à réfléchir avant d’agir (s’il agit immédiatement par de l’agressivité, le mettre en situation de réfléchir, tout de suite après)

 

Inciter l’enfant agressif à contrôler de plus en plus son impulsivité (qu’il apprenne à s’imposer des freins à sa propre impulsivité, à se contrôler à ce niveau)

 

Permettre à l’enfant agressif de décharger ses énergies de frustration et de colère, mais sur des objets ou par l’action (mais pas sur des personnes)

 

Accepter l’agressivité verbale de la part de cet enfant, mais pas l’agressivité physique (ne pas accepter qu’il donne des coups, morde l’autre, etc.)

 

Orienter l’agressivité verbale de cet enfant vers des formes civilisées (dialogue, recherche de solutions satisfaisantes pour lui-même et pour qui de droit, demander plutôt qu’exiger, etc.)

 

 

 

SUGGESTIONS POUR DES SITUATIONS PARTICULIÈRES

 

 

Si les comportements agressifs de cet enfant prennent leurs causes de perturbations qu’il subirait à la maison ou ailleurs, offrir alors de l’aide spécialisée aux personnes de ces milieux impliqués de vie

 

Si les comportements agressifs de cet enfant visent à provoquer le parent ou l’adulte à lui fournir un encadrement dont il (l’enfant) ressentirait vivement le besoin, procurer alors à cet enfant un encadrement éducatif ferme et stable

 

Procurer à cet enfant un cadre de vie qui soit stable et qui comporte un minimum de changements ou de tensions ambiantes à supporter par lui