BIENVENUE au site relationsinterpersonnelles.info !

Voici le MENU COMPLET, déroulant et CLIQUABLE de ce site :
Accueil du site RELATIONSINTERPERSONNELLES.INFO
Résumés de NOS 6 AUTRES SITES WEB dont les titres sont :
1 - AMOURRELATIONS.INFO - 2 - CONSEILSSANTEMENTALE.INFO
3 - RELATIONSDEVIOLENCE.INFO - 4 - CONSEILSRELATIONS.INFO
5 - CONSEILSRELATIONSENFANTS.INFO - 6 - ACOUPHENE.CA

EN CLIQUANT ICI vous pourrez faire jouer de la MUSIQUE relaxante et calme pendant que vous naviguerez sur le présent site

Un outil fascinant pour comprendre les attitudes interpersonnelles : Voici "LE CADRE DE RÉFÉRENCE DES COMPORTEMENTS INTERPERSONNELS "

ÉVALUER LES RELATIONS INTERPERSONNELLES D'UN ENFANT DE VOTRE CHOIX :
A1 à A5 - Les attitudes d'ESTIME DE SOI et de FIERTÉ
B1 à B5 - Les attitudes de POUVOIR et d'ORGANISATION
C1 à C5 - Les attitudes d'AGRESSIVITÉ ou d'OPPOSITION
D1 à D5 - Les attitudes de MÉFIANCE face aux autres
E1 à E5 - Les attitudes de GÊNE et d'ANXIÉTÉ face aux autres
F1 à F5 - Les attitudes de DOCILITÉ et de RÉCEPTIVITÉ a l'autre
G1 à G5 - Les attitudes pour le DÉVOUEMENT et l'ENTRAIDE
H1 à H5 - Les attitudes pour l'AMITIÉ et la CHALEUR HUMAINE

ÉVALUER VOS RELATIONS INTERPERSONNELLES SI VOUS ÊTES UNE FEMME :
A1 à A5 - Les attitudes d'ESTIME DE SOI et de FIERTÉ
B1 à B5 - Les attitudes de POUVOIR et d'ORGANISATION
C1 à C5 - Les attitudes d'AGRESSIVITÉ ou d'OPPOSITION
D1 à D5 - Les attitudes de MÉFIANCE face aux autres
E1 à E5 - Les attitudes de GÊNE et d'ANXIÉTÉ
F1 à F5 - Les attitudes de DOCILITÉ et de RÉCEPTIVITÉ à l'autre
G1 à G5 - Les attitudes pour le DÉVOUEMENT et l'ENTRAIDE
H1 à H5 - Les attitudes pour l'AMITIÉ et la CHALEUR HUMAINE

ÉVALUER VOS RELATIONS INTERPERSONNELLES SI VOUS ÊTES UN HOMME :
A1 à A5 - Les attitudes d'ESTIME DE SOI et de FIERTÉ
B1 à B5 - Les attitudes de POUVOIR et d'ORGANISATION
C1 à C5 - Les attitudes d'AGRESSIVITÉ ou d'OPPOSITION
D1 à D5 - Les attitudes de MÉFIANCE face aux autres
E1 à E5 - Les attitudes de GÊNE et d'ANXIÉTÉ face aux autres
F1 à F5 - Les attitudes de DOCILITÉ et de RÉCEPTIVITÉ a l'autre
G1 à G5 - Les attitudes pour le DÉVOUEMENT et l'ENTRAIDE
H1 à H5 - Les attitudes pour l'AMITIÉ et la CHALEUR HUMAINE

Nous écrire et faire un DON
Index du site de relationsinterpersonnelles.info

A1 à A5 - Les attitudes d'ESTIME DE SOI et de FIERTÉ face aux autres, chez un enfant de votre choix

A1 - CET ENFANT A UNE ESTIME TRÈS MODESTE DE LUI-MÊME

Ce qui signifie que cet enfant a très peu tendance à manifester des attitudes d’assurance ou d’affirmation de lui-même dans ses relations avec les autres.

 

Il pourrait manquer de fierté ou d’assurance personnelle, ce qui pourrait risquer de lui nuire au niveau de la place à prendre dans une relation.

Il est certain que cet enfant n’agira pas en personne dominante ou supérieure face à qui de droit.

 

Étant un enfant peu affirmatif, il prendra peu d’espace dans une relation.

 

Il pourra cependant arriver qu’avec une personne avec qui il se sentirait particulièrement à l’aise, que cet enfant puisse en venir à vraiment prendre sa place dans la relation du moment, mais cela ne devrait durer que le temps de cette interaction avec qui de droit.

 

Des problèmes peuvent donc exister chez cet enfant concernant l’affirmation de lui-même, peut-être par suite d’un manque de confiance en lui-même, ou d’une estime basse de lui-même.

 

Il n’est pas exclus que cet enfant soit tout simplement d’une nature modeste, aimant peu se mettre en valeur, et/ou aimant particulièrement se mettre à l’écoute des autres.

 

Bref, que la discrétion ou l’humilité, face aux autres, soit comme un choix de vie, pour cet enfant.

 

Ce dernier point pourrait être confirmé en partie par un résultat au moins moyen qu’il aurait obtenu au groupe « F » de son Test des Relations Interpersonnelles, signalant alors l’existence d’attitudes particulières pour la réceptivité et/ou la docilité face aux autres.

Il n’empêche qu’il pourrait être profitable pour cet enfant de développer des caractéristiques d’affirmation de lui-même dans ses rapports avec les autres.

 

En particulier, cela l’aiderait à mieux affirmer ses besoins en général, mais aussi à éviter d’avoir à tout garder au dedans de lui, en particulier ses émotions.

 

 

Voici maintenant quelques qualificatifs ou expressions résumant ce résultat très faible obtenu au groupe A du Test des Relations Interpersonnelles :

 

Cet enfant paraît peu ou pas dominant dans une relation ; Peut douter ou être incertain de lui-même ; Peut être d’une nature modeste ou effacée face aux autres ; Difficultés probables à affirmer avec vigueur et énergie ses besoins personnels et sociaux. 

 

 

SUGGESTIONS POUR CET ENFANT QUI A UNE ASSURANCE DE LUI-MÊME TRÈS MODESTE :

 

 

Encourager cet enfant à augmenter son assurance de lui-même face aux autres

 

Inciter cet enfant à reconnaître ses talents et ses possibilités face aux autres

 

Inciter cet enfant à augmenter ses capacités d’affirmation de lui-même, face à qui de droit

 

L’inciter à équilibrer son estime de lui-même avec celle des autres.


A2 - CET ENFANT A UNE ASSURANCE MODESTE FACE AUX AUTRES

Ce résultat signifie que cet enfant pourra parfois ressentir de la fierté ainsi qu’avoir une opinion occasionnellement positive de lui-même, mais sans cela constitue un trait régulier ou habituel, chez lui.

 

Il pourra lui arriver d’exprimer aux autres ses besoins, mais il lui faudra être à l’aise pour le faire, être mis en sécurité par le parent ou par l’adulte.

 

Il est possible que cet enfant soit peu certain de lui-même, se sentant plus ou moins adéquat ou en sécurité dans plusieurs de ses rapports avec les autres.

 

Nul doutes que ses autres résultats au Test des Relations Interpersonnelles pourra permettre de préciser le point précédent.

Ceci dit, il semble bien que cet enfant ait des attitudes modestes et effacées dans ses relations avec les autres, sauf s’il serait préalablement mis en confiance ou en sécurité par qui de droit.

 

Il se pourrait qu’un certain problème existe chez cet enfant au niveau de l’affirmation de ses besoins, de ses projets ou de ses émotions, aux autres.

 

Il lui serait certainement profitable de développer ses capacités à ce niveau, de façon à mieux équilibrer ses rapports personnels et sociaux avec les gens en général de son entourage humain.

 

 

Voici maintenant quelques qualificatifs ou expressions résumant ce résultat faible obtenu au groupe A du Test des Relations Interpersonnelles :

 

Une certaine fierté chez cet enfant ; Parfois incertain de lui-même ; Pourrait douter de ses moyens ; Capacités à s’affirmer ou à s’estimer positivement, face aux autres, mais cela ne constituera pas un trait habituel ou régulier, chez lui.

 

 

 

SUGGESTIONS POUR CET ENFANT QUI A UNE ASSURANCE TRÈS MODÉRÉE DE LUI-MÊME

 

 

Encourager cet enfant à augmenter son assurance de lui-même face aux autres

 

Inciter cet enfant à reconnaître ses talents et ses possibilités face aux autres

 

Inciter cet enfant à augmenter ses capacités d’affirmation de lui-même, face à qui de droit

 

L’inciter à équilibrer son estime de lui-même avec celle des autres.


A3 - CET ENFANT A UNE ASSURANCE ÉQUILIBRÉE FACE À L’ADULTE

Ce qui signifie que cet enfant a tendance à prendre sa place dans ses relations avec les autres, mais sans exagérer, de façon habituellement équilibrée.

 

En plus, son niveau général d’assurance ainsi que d’estime de soi paraît bon et habituellement positif.

 

Il semble donc que cet enfant ait découvert que dans sa vie au quotidien, il a le droit de prendre sa place - de s’affirmer – mais pas à l’excès (du moins, règle générale).

 

On peut donc supposer que cet enfant a reçu des refus « normaux » durant les premières années de sa vie, tout en ayant maintenu une bonne estime de lui-même.

 

Il demeure cependant important que cet enfant puisse continuer à être encadré par ses parents afin qu’il puisse continuer à « partager avec acceptation » avec les autres, car ce type d’apprentissage doit habituellement être refait des centaines de fois avant qu’il puisse vraiment s’enraciner dans l’esprit de ce futur adulte.

 

Ceci dit, il pourra arriver à cet enfant de parfois réagir négativement aux refus, aux interdictions, aux critiques ou aux remarques semblant attaquer sa liberté d’action ou son estime de lui-même.

 

Mais cela ne surviendra qu’occasionnellement, car dans l’ensemble cet enfant semble avoir une estime de lui-même (et d’assurance) qui n’est ni trop élevée, ni trop basse, quelque part entre les deux.

 

Finalement, il pourra arriver à cet enfant d’agir en personne compétitrice avec les autres, mais là ça n’arrivera qu’à l’occasion, sans excès.

 

 

Voici maintenant quelques qualificatifs ou expressions résumant ce résultat moyen ou souple obtenu au groupe A du Test des Relations Interpersonnelles :

 

Cet enfant aime prendre une place importante mais pas dominante, face aux autres ; Fier ; Habituellement sûr de lui-même ; Confiance en soi ; Affirmation de soi ; Ouvert à s’exprimer ; Appropriation de son pouvoir.

 

 

SUGGESTIONS POUR CET ENFANT QUI A UNE ASSURANCE ÉQUILIBRÉE DE LUI-MÊME

 

 

Encourager cet enfant à maintenir et à protéger son estime actuelle de lui-même

 

Veiller à ce que cet enfant puisse protéger au quotidien sa confiance actuelle en ses moyens

 

Veiller à ce qu’il sache protéger au quotidien ses capacités d’assurance personnelle

 

Enseigner à cet enfant diverses façons de s’affirmer face aux autres.


A4 - CET ENFANT A UNE ASSURANCE DE LUI-MÊME QUI EST ÉLEVÉE

Ce qui signifie que cet enfant a tendance à beaucoup prendre sa place dans ses relations avec les autres, et même à agir de façon dominante ou supérieure face à qui de droit.

 

Ce faisant, cet enfant cherchera à être au centre de l’attention, tant à la maison qu’ailleurs.

 

Et il tolèrera très peu les frustrations provenant des interdictions ou des refus des parents.

 

À la limite, cela pourrait dégénérer en crises de nerfs, de pleurs incessants, ou de contraintes diverses exercées par lui et visant à ce que les refus ou les interdictions faites par ses parents, cessent.

 

Dans le cas d’un enfant en très bas âge, une telle attitude peut être qualifiée de normale car tout enfant débute sa vie avec des capacités mentales faisant en sorte que dans leur esprit, il est littéralement le centre du monde (égocentrisme enfantin.)

 

En étant le centre de son propre univers, le très jeune enfant agit habituellement en prenant une place particulièrement importante face aux personnes « nourricières » de son entourage : ses désirs sont rois.

 

Mais à partir de 2 à 3 ans, l’enfant apprend habituellement une chose importante : à savoir que les autres existent, eux aussi, et qu’il doit partager avec eux les jouets, la nourriture, etc.

 

À partir de là, l’enfant dominant - jusque là -  découvre qu’il ne peut pas l’être autant qu’il le voudrait, apprenant progressivement que les autres ont aussi leur importance, en particulier ses ami (e)s avec qui il lui faudra souvent partager les jouets et autres éléments existants de son univers.

 

Mais si les refus ou les interdictions parentales s’avèrent à être pratiquement absents à la maison - durant ses premières années de vie (ses parents lui permettant de tout faire, ou presque) - alors cet enfant risque de maintenir, dans le temps, son narcissisme enfantin, et voudra continuer  à l’effet que tout lui est absolument dû, que ses besoins doivent être prioritaires en tout temps à ceux des autres.

 

Pour les enfants ayant reçu des refus « normaux » durant les premières années de leur vie, ils peuvent tout de même développer une estime extrêmement forte d’eux-mêmes s’ils se trouvent à être idéalisés (mis sur un piédestal) par leurs parents (de façon semblable aux égards reçus par les enfants des rois, au temps du moyen âge.)

 

Mais en général, l’enfant « normal » part d’une extrême assurance face aux autres, pour en aboutir à une sorte de partage à ce niveau, avec les autres.

 

Ce qui n’est pas le cas de cet enfant qui a obtenu vraiment très haut sur les plans de l’assurance et de l’estime de soi, au groupe A du Test des Relations Interpersonnelles.

 

Pour un tel enfant, nous suggérons aux éducateurs ainsi qu’aux parents à intervenir régulièrement de façon à ce que cet enfant puisse apprendre à accepter les inévitables frustrations allant de pair avec la vie en commun (à la maison, en garderie et puis à l’école.)

 

De façon à ce que cet enfant apprenne à partager « avec acceptation », avec les autres, sur la base d’une vie équilibrée en commun, fondement d’une vie bien adaptée pour l’enfant destiné à devenir adolescent et puis adulte, un jour.

 

Ceci dit, il pourra arriver à cet enfant très fier ou très assuré de réagir négativement aux refus, aux interdictions, aux critiques ou aux remarques semblant attaquer sa liberté d’action ou son estime de lui-même.

 

Mais ces frustrations (qui peuvent être adoucies, par diverses stratégies éducatives) sont le prix à payer par l’enfant afin de pouvoir vraiment apprendre ce qu’est la vie en commun, que l’on ne peut pas tout faire, dans la vie.

 

Le « penser à l’autre » est également à la base de liens éventuellement altruistes avec les autres (ses parents, ses ami (e)s à la maison ou à la garderie, et puis à l’école.)

 

 

Voici maintenant quelques qualificatifs ou expressions résumant ce résultat élevé obtenu au groupe A du Test des Relations Interpersonnelles :

 

Cet enfant aime prendre une place dominante face aux autres ; Tendance à agir de façon très  égocentrique (normal pour les enfants en bas de 2 à 3 ans) ; Ego en expansion ; Humeur expansive, en éclat.

 

 

 

SUGGESTIONS POUR CET ENFANT QUI A UNE ASSURANCE DE LUI-MÊME TRÈS ÉLEVÉE

 

 

Exercer des pressions sur cet enfant afin qu’il puisse apprendre à respecter les besoins des autres (ainsi qu’à leur accorder une place légitime)

 

Encourager cet enfant à s’effacer, de temps en temps, face aux autres

 

Amener cet enfant à équilibrer son estime de lui-même avec celle à reconnaître des gens autour de lui

 

Exercer une influence sur cet enfant afin qu’il puisse développer ou retrouver sa sensibilité vis-à-vis des principales personnes de son entourage, en l’incitant notamment à se mettre à leur place.


A5 - CET ENFANT UNE ASSURANCE DE LUI-MÊME QUI EST TRÈS ÉLEVÉE

Ce qui signifie que cet enfant a tendance à beaucoup prendre sa place dans ses relations avec les autres, et même à agir de façon dominante ou supérieure face à qui de droit.

 

Ce faisant, cet enfant cherchera à être au centre de l’attention, tant à la maison qu’ailleurs.

 

Et il tolérera très peu les frustrations provenant des interdictions ou des refus des parents.

 

À la limite, cela pourrait dégénérer en crises de nerfs, de pleurs incessants, ou de contraintes diverses exercées par lui et visant à ce que les refus ou les interdictions faites par ses parents, cessent.

 

Dans le cas d’un enfant en très bas âge, une telle attitude peut être qualifiée de normale car tout enfant débute sa vie avec des capacités mentales faisant en sorte que dans leur esprit, il est littéralement le centre du monde (égocentrisme enfantin.)

 

En étant le centre de son propre univers, le très jeune enfant agit habituellement en prenant une place particulièrement importante face aux personnes « nourricières » de son entourage : ses désirs sont rois.

 

Mais à partir de 2 à 3 ans, l’enfant apprend habituellement une chose importante : à savoir que les autres existent, eux aussi, et qu’il doit partager avec eux les jouets, la nourriture, etc.

 

À partir de là, l’enfant dominant - jusque là -  découvre qu’il ne peut pas l’être autant qu’il le voudrait, apprenant progressivement que les autres ont aussi leur importance, en particulier ses ami (e)s avec qui il lui faudra souvent partager les jouets et autres éléments existants de son univers.

 

Mais si les refus ou les interdictions parentales s’avèrent à être presque absents à la maison - durant ses premières années de vie (ses parents lui permettant de tout faire, ou presque) - alors cet enfant risque de maintenir, dans le temps, son narcissisme enfantin, et voudra continuer  à l’effet que tout lui est absolument dû, que ses besoins doivent être prioritaires en tout temps à ceux des autres.

 

Pour les enfants ayant reçu des refus « normaux » durant les premières années de leur vie, ils peuvent tout de même développer une estime extrêmement forte d’eux-mêmes s’ils se trouvent à être idéalisés (mis sur un piédestal) par leurs parents (de façon semblable aux égards reçus par les enfants des rois, au temps du moyen âge.)

 

Mais en général, l’enfant « normal » part d’une extrême assurance face aux autres, pour en aboutir à une sorte de partage à ce niveau, avec les autres.

 

Ce qui n’est pas le cas de cet enfant qui a obtenu vraiment très haut sur les plans de l’assurance et de l’estime de soi, au groupe A du Test des Relations Interpersonnelles.

 

Pour un tel enfant, nous suggérons aux éducateurs ainsi qu’aux parents à intervenir régulièrement de façon à ce que cet enfant puisse apprendre à accepter les inévitables frustrations allant de pair avec la vie en commun (à la maison, en garderie et puis à l’école.)

 

De façon à ce que cet enfant apprenne à partager « avec acceptation », avec les autres, sur la base d’une vie équilibrée en commun, fondement d’une vie bien adaptée pour l’enfant destiné à devenir adolescent et puis adulte, un jour.

 

Ceci dit, il pourra arriver à cet enfant très fier ou très assuré de réagir négativement aux refus, aux interdictions, aux critiques ou aux remarques semblant attaquer sa liberté d’action ou son estime de lui-même.

 

Mais ces frustrations (qui peuvent être adoucies, par diverses stratégies éducatives) sont le prix à payer par l’enfant afin de pouvoir vraiment apprendre ce qu’est la vie en commun, que l’on ne peut pas tout faire, dans la vie.

 

Le « penser à l’autre » est également à la base de liens éventuellement altruistes avec les autres (ses parents, ses ami (e)s à la maison ou à la garderie, et puis à l’école.)

 

 

Voici maintenant quelques qualificatifs ou expressions résumant ce résultat élevé obtenu au groupe A du Test des Relations Interpersonnelles :

 

Cet enfant aime prendre une place dominante face aux autres ; Aime se montrer ; Tendance à agir de façon très  égocentrique (normal pour les enfants en bas de 2 à 3 ans) ; Ego en expansion ; Humeur expansive, en éclat ; Estime triomphante de soi ; Ne manque pas d’originalité.

 

 

 

SUGGESTIONS POUR CET ENFANT QUI A ASSURANCE TRÈS ÉLEVÉE DE LUI-MÊME

 

 

Exercer des pressions sur cet enfant afin qu’il puisse apprendre à respecter les besoins des autres (ainsi qu’à leur accorder une place légitime)

 

Encourager cet enfant à s’effacer, de temps en temps, face aux autres

 

Amener cet enfant à équilibrer son estime de lui-même avec celle à reconnaître des gens autour de lui

 

Exercer une influence sur cet enfant afin qu’il puisse développer ou retrouver sa sensibilité vis-à-vis des principales personnes de son entourage, en l’incitant notamment à se mettre à leur place.


Sections à venir : B1 à B5 - Les attitudes de POUVOIR (enfant) et C1 à C5 - Les attitudes d'AGRESSIVITÉ (enfant)